Pauvres petits Chappaz et Ohayon qui se plaignent de Capital

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Incroyable ! 2 des gros egos du web français se plaignent d' Olivier Bouchara de Capital Hier soir Pierre Chappaz et Ouriel Ohayon se déchaînent contre le dénommé Olivier Bouchara, journaleux à Capital, qui a eu l’audace de ne pas écrire à leur gloire.. (voir  http://www.kelblog.com/article-ces-journalistes-qui-mentent-pour-vendre-58244193.html  et  http://ouriel.typepad.com/myblog/2010/10/quand-capital-essaie-de-faire-un-article-sur-les-startups.html ).

L'article original d' Olivier Bouchara est sur Quand des patrons du Net veulent faire taire Capital

D’habitude, quand les journalistes “économiques” ou ‘web” confondent chiffre d’affaire avec bénéfice ou oublient les pertes des années d’avant ou confondent chiffre de la vente avec argent empoché par un des actionnaires qui remue + que les autres ou encore quand on valorise une entreprise dont x% a été vendu y par 100y/x  les Chappaz, Ohayon et autres ne disent rien. Là, Olivier Bouchara écrit un autre discours et c'est le drame.

La France n’est pas l’ Allemagne, l’ Angleterre, les USA ou les pays nordiques où il y a forcément aussi dans les medias des gens qui savent compter.

Dans le microcosme des start-uppers fun flash cool , le journaliste est habituellement un ami puisque le nombre d’articles est souvent un indicateur mis en avant par ces bateleurs du web. “Tout le monde en parle” est facilement assimilable par les benêts à “c’est génial” et énormément d’entreprises web portées aux nues ne sont que de gigantesques opérations de communication (voir Rachat de Price Minister et enfin des chiffres sur une affaire bien moyenne ).

Dans un monde où les principales entrées d’argent sont très souvent les sous mis par les actionnaires + que l’argent des ventes, le journaliste et le “plan medias” sont essentiels.

Le “bas peuple” ne lit plus trop la presse mais les investisseurs si et des articles dans La Tribune, Les Echos, Capital, l’ Essentiel du Management et autres tas de publi-reportages sont essentiels pour entourer la pompe à fric de la certitude que son pognon va être au chaud dans un truc qui marche.

Le système est particulièrement vicieux car en France, un investisseur qui perd beaucoup ne dira jamais qu’il a perdu et le start-upper pourra continuer à plastronner qu’il a “vendu sa boîte” et qu’il se consacre à d’autres projets,  qu’il part à l’étranger pour découvrir de nouveaux horizons (façon élégante de cacher le fait d’être tricard auprès des investisseurs en France), etc, etc..

Comme parallèlement personne n’aime parler d’argent en France, un silence souriant ne fera que convaincre la populace que le start-upper a encaissé un max.

Quelles sont les meilleurs positions sociales pour un entrepreneur ? Le moment où il monte sa boîte (même si on est clodo on EST intéressant … et c’est vrai depuis toujours que le meilleur moment est la montée ;-)) et le moment où on a vendu (officiellement) et où même sans le sou, on peut enfin se livrer à ce qu’on a toujours voulu faire: donner des leçons aux autres..

Un type qui parle des clients qui ne paient pas, de l’ URSSAF qui le gonfle, des oublis de TVA, des problèmes de serveurs, bref de l’exploitation  est C.H.I.A.N.T

Ainsi, les séminaires, magazines et mêmes écoles de commerce sont remplies d’idiots qui donnent des leçons sur la manière de faire alors qu’ils n’ont jamais su gagner un sou en exploitation (pour la plupart).

lever des fonds” est un exploit, vendre sa boîte même avec des comptes pourris est le graal puisqu’aucun ne vit vraiment pour la techno ou le fond des choses et que le but semble être de monter qqch juste pour le vendre (ce qui est même à l’inverse de la nature où en général on achète ce qu’on veut monter ;-)))

Si on était dans le domaine du sport, on aurait ainsi toute une population qui se contente de savoir prendre un départ sous les vivas de la foule et de faire l’avion en franchissant la ligne mais sans accélération ni tenue aux 40- 50et 60 mètres.. Ceci dit c’est vrai qu’on a raté la Coupe du Monde aux USA à cause d’un type qui préférait faire des amortis de la poitrine en remuant sa chevelure avant une transversale plutôt que d’aller droit au but ;-))

(cf Sarkozy et start-ups, même problème ? )

Quand un journaliste comme Olivier Bouchara critique ces “héros”, même par des raisonnements aussi faux et illogiques que quand il les encense, le danger est grand.

Les journalistes étant des moutons et ayant une grosse pression pour vendre leurs papiers, que deviendraient tous nos web people si par hasard la mode venait à mettre en avant les échecs et les ratés plutôt qu’à faire du “Point de vue et images du monde” ?

Imaginez si les gens discrets et ternes, ceux qui s’intéressent à la technique, aux clients, aux rouages deviennent plus connus que les bâteleurs ? Que deviendraient ceux-ci ?

Comment organiser des conférences à sa propre gloire ou tenir des blogs à son nom et/ou le mot “je” est le plus utilisé si la populace s’intéresse désormais aux choses de fond ?

Bon calmons nous, il y a quelques lueurs d’espoirs, ainsi Chappaz précise dans sa diatribe que le journaliste Olivier Boucharacommence par écrire que j'ai vendu Kelkoo 475 millions d'euros sans préciser que je n'avais que 3% de la boite”... (donc Olivier Bouchara même quand il écrit des grosses sommes à la gloire de Chappaz est critiqué ;-))

Chappaz écrit aussi qu’il est marié à une journaliste, Cathy Nivez (c’est sans danger car personne ne fera l’effort d’aller creuser les chroniques de la dame pour voir les collusions d’intérêt éventuelles ;-))

Certes il appelle aussi les web people à la rescousse: “ Les autres interviewés (Xavier Niel, Marc Simoncini, Marc Menasé, PKM) ne sont pas beaucoup mieux lotis.   “ en passant la brosse à reluire sur certains d’entre eux .

L’autre offensé, Ohayon, se plaint entre les lignes de ne pas être comparé à Google, Twitter et Facebook ;-))

Son truc est jugé par Capital Avis Global "resume par la redaction": modele facilement duplicable [exact! tout le web est duplicable. so what?], long a monetiser [tient ca me rappelle quelques societes comme Google, Twitter, Facebook,...].

Une grande nouvelle donc: le machin d’ Ohayon est un truc qui a soit la techno de Google, soit l’audience de Facebook, soit le trilili de Twitter ;-))

Le plus comique c’est qu’ Ohayon déclare: Cela fait plusieurs années que je ne lis plus Capital, ce magazine hybride entre Les Echos et Entrevues; alors que Chappaz est plus fin avec “ Vous avez sans doute été choqué comme moi en découvrant cette affaire du reportage bidonné du Point sur la polygamie. “ (le Chappaz doit connaître par coeur les technique de l’ Art d’ Avoir toujours raison de Schopenhauer ;-)) et enchaîne sur “Certains journalistes font beaucoup de mal à l'image de leur profession en écrivant n'importe quoi pour vendre  “.

Ca ne prendrait pas beaucoup de temps de chercher et de trouver des “notes” de ces autres sortes de journalistes que sont Chappaz et Ohayon où ils expliquent que le mieux quand on n’aime pas est de ne pas en parler ;-))

Rien que pour avoir provoqué ces 2 plaintes à leurs mamans (car leurs lecteurs sont leurs mamans en fait) de ces 2 types, ça vaut le coup d’acheter Capital pour essayer de montrer par les ventes que les gens comme Olivier Bouchara écrivent des trucs intéressants .. intéressants pourquoi ? parce que pour une fois, quand on commence leur article, on ne connaît déjà pas la fin à l’avance… ;-)

Comme par hasard, mais alors vraiment par hasard, un ami nous parlait hier de Frédéric Bon qui quand on le cherche sur Google permet de lire cette phrase trop marrante:  Frédéric Bon (Clever Age) : "Le Web 3.0 de Loïc Le Meur ? Du pur marketing de salon"

Ah ah ah ah trop marrant les entre eux preneurs du web français

(Certains ne sont pas comme ça hein.. il y en a qui n’ont pas de blog à leur gloire et se contentent d’encaisser de l’argent de clients)

Maj: Laurel et Hardy tentent de rectifier leur comm car la ficelle habituelle de passer pour des victimes n'a pas marché ;-) maintenant le message est: on voulait un débat, hé bien voilà on en a un ... car Capital a publié ça: http://www.capital.fr/a-la-une/actualites/special-start-up/quand-des-patrons-du-net-veulent-faire-taire-capital

Si ces sujets vous intéressent, amusez-vous aussi à faire ce test avec des investisseurs qui ont mis des billes (c'est l'expression, l' "élément de langage" comme on dit) avec cette fUmeuse loi TEPA:

Quand on met 100 dans une société, on déduit combien en impôts ?

Vouys allez vous marrer avec les résultats (lire Start-ups et investissement réduction ISF: le grand bazar)

et sur le fond et pas le fonds du pb: Création d' entreprise, BP, VCs, levée de fonds et clients

(A noter qu' Olivier Bouchara a souvent pour habitude d'aller chercher la petite bête, la vraie pas la fausse pour buzzer: voir aussi les articles d' Olivier Bouchara sur les héritiers Hermès et qui trahira le premier - http://www.capital.fr/enquetes/hommes-et-affaires/famille-hermes-qui-trahira-le-premier-olivier-bouchara-587891 -  ou ACN le Madoff du pauvre - http://www.capital.fr/enquetes/revelations/acn-une-multinationale-aux-etranges-methodes-de-recrutement - ou la vraie vie des call girls - http://www.capital.fr/enquetes/dossiers/les-nouveaux-business-de-l-amour-520253/le-job-des-escort-girls-est-bouleverse-par-internet - )

Hermès et les

Commentaires sur: Pauvres petits Chappaz et Ohayon qui se plaignent de Capital

Olivier Bouchara doit être content de voir que Pierre Chappaz est à nouveau un ami de Capital à voir son commentaire sur un article pourtant critique: http://techbiz.blog.capital.fr/index.php?action=article&id_article=428981

Rédigé par : Tubby | 17 avr 2011 13:15:05

C'est oublier que la plupart des innovations sont incrémentales, il y a toujours une inspiration d'un existant, comme dans art (où il y a aussi une sorte de "time to market" comme on dit). Mais bon, c'est un autre débat :)

Je ne suis pas très roman mais je jetterai un oeil à celui que vous mentionnez.

Rédigé par : Olivier | 7 oct 2010 22:50:10

Olivier, l'innovation marketing la plupart du temps n'a d'innovation que le fait de s'appeler ainsi.
Proposer des vélo à la vélib, c'est de l'innovation marketing.
Ajouter +1 à Web x.0 en ressortant tjrs les mêmes discours et lieux communs, c'est du vide
Célébrer Facebook comme une innovation alors que des systèmes du même type existent depuis des années, c'est de la connerie. Les autres systèmes étaient en avance et ne répondaient pas à un besoin. Facebook est arrivé au bon moment, tant mieux pour lui mais transformer ça en prouesse et gloser/délirer là dessus, ce n'est pas de l'innovation c'est de l' après vente et de l'habillage.
Poster des vidéos d'annonceurs sur le web n'est pas non plus de l'innovation mais simplement qqch de malin pour récupérer l'argent de la pub dans les medias classiques sans trop changer le format pour les annonceurs. A la limite c'est de l'arbitrage.
A lire si vous aimez les livres Identification des Schémas de Gibson

Rédigé par : Tubby@Olivier | 7 oct 2010 11:14:09

@Halluciné: oui j'ai mis mon site pour qu'il n'y ait pas d'ambigüité sur mon travail, j'ai rien à cacher.

Je suis d'accord avec vous, cela n'est pas sain si cette logique se propage tout au long de la chaîne, je n'ai parlé que des start-up qui nous intéresse ici, et qui peuvent créer de la valeur (techno, audience, etc.) qui intéresse de plus grandes sociétés.

Quant à ma société, elle suit un parcours classique : autofinancée pendant 2 ans et demi, puis levée de fond suivi d'investissements importants pendant 2 ans (d'où les pertes que vous mentionnez), et retour à la rentabilité depuis 1 an maintenant. Pour ce qui est d'aller chercher des clients, de vendre et de faire des bénéfices, on connait bien, rassurez-vous, c'est d'ailleurs pour ça que ça me dérange pas d'intervenir sur cette discussion :)

Rédigé par : Olivier | 7 oct 2010 09:42:26

@Olivier (qui s'appelle Olivier Issaly, et se présente comme entrepreneur et patron de Owlient, quand on clique sur son nom)

Je remets ci-dessous votre argumentaire hallucinant, qui a le mérite de la franchise, avant de le commenter:

"Evaluer le succès d'une société sur ses bénéfices cumulées n'a pas toujours de sens dans le milieu de l'innovation. Ce qui va intéresser un investisseur en capital-risque, c'est la différence entre la valorisation d'entrée et celle de la vente, c'est tout. Que celle-ci ait augmentée parceque la start-up bénéficie d'un buzz médiatique monstrueux ou d'une techno formidable, alors qu'elle ne fait pas 1€ de bénéfice voir pas de chiffre d'affaires, peu importe dans l'absolu."

Ce que vous décrivez n'est rien d'autre qu'une chaîne de Ponzi ou une pyramide de Madoff pour les plus jeunes. Car si une start-up peut effectivement être revendue à plusieurs reprises avec une valorisation croissant à chaque fois bien qu'elle ne gagne pas un euro, il y'aura forcément un perdant en bout de chaîne: celui qui ne trouvera pas un nouveau gogo pour la lui racheter plus cher et qui, incapable de combler ses pertes, devra donc la liquider en ayant perdu toute sa mise! C'est la règle de base du capitalisme!

Si votre argumentaire résume la philosophie des "entrepreneurs" du web français, ça fait très très peur.

Au fait, pour les intéressés, je signale que votre société Owlient a perdu 634.000 euros pour un CA de 2,6 ME (au 30.06.08, dernier exercice publié sur Infogreffe.fr). Mais naturellement, on va pas s'embêter avec ces histoires de bénéfices "qui n'ont pas de sens dans le milieu de l'innovation".

Rédigé par : Halluciné | 7 oct 2010 01:04:24

Tubby, il faut avoir une vision plus large de l'innovation :) On ne parle pas que de technologie, on peut avoir de l'innovation dans d'autres métiers.

Si demain, je créé une nouvelle société de location de véhicule, qui au lieu de ne prendre que des modèles flambants neufs achète des secondes mains de 3 ans d'age et vise les jeunes fauchés l'été qui veulent une location pas chère, ce sera à juste titre une innovation marketing (ça existe peut-être déjà ?). À lire à ce sujet le livre Blue Ocean Strategy, très intéressant.

Rédigé par : Olivier | 6 oct 2010 23:50:53

Le jeu de la patate chaude existe depuis bien longtemps. la folie des tulipes qui ruina une partie de l'économie il y a quelques siècles était du même ordre.
Comme en plus, en France, personne n'a les c.. ou le courage de dire qu'il s'est fait avoir et a perdu.. tout est en place pour un bon système entre amis.
Si un journaliste s'amuse même un jour à lister les start-ups qui lèvent des fonds auprès de fonds dont les dirigeants sont des amis des investisseurs privés du début enrichissant ceux-ci par la même occasion, on rigolera vraiment ;-)

Rédigé par : Tubby@Jérôme | 6 oct 2010 23:14:09

Excellent Tubby. J'ai acheté le magazine après t'avoir lu et c'est vrai que ça change des éternels papiers brosse à reluire sur nos "génies" du web. On comprend que Pierre Chappaz et Ouriel Ohayon n'ont pas dû en revenir. Mais il y a une autre idée abordée dans l'article qu'on pourrait développer, c'est l'apparition d'une nouvelle bulle fondée cette fois sur la réputation. Si Niel ou Simoncini mettent de l'argent dans une start-up, d'un seul coup sa valo explose, même si le compte d'exploitation de la boîte est aussi pourri qu'avant leur arrivée. Qu'en penses-tu ?

Rédigé par : Jérôme | 6 oct 2010 22:53:06

"Notamment, évaluer le succès d'une société sur ses bénéfices cumulées n'a pas toujours de sens dans le milieu de l'innovation" tout a fait mais où est l' innovation dans pas mal de sociétés dont on parle en France ? Entend on par "innovation" du réhabillage marketing ? Listons ensemble les boîtes françaises du web qui ont développé de la techno et ont réellement innové... A-t-on besoin de + de 10 doigts ? Ne suffit-il pas de voir le budget "comm" pour tout de suite comprendre ce qui est important dans pas mal de sociétés web mises en évidence ?
"Et là où par contre je ne suis pas d'accord, c'est l'idée que les entrepreneurs créé juste pour revendre plus tard... Je doute fortement que ceux dont la motivation est uniquement l'argent réussissent."
Nous n'écrivons pas que TOUS les gens font ça. Ceux dont on parle souvent - et ce n'est pas souvent ceux qui travaillent vraiment car ces derniers ont peu de temps pour la comm - n'ont pas comme unique motivation l'argent. Bien +souvent ils en ont déjà assez pour vivre. Etre admiré, montré et présent dans les journaux est bcp plus important pour eux --> pyramide de maslow.

Rédigé par : Tubby@Olivier | 6 oct 2010 21:53:28

C'est bien d'apporter un autre point de vue à ce débat enfantin, mais il y a quand même quelques points pas tout à fait justes aussi dans cet article :)

Notamment, évaluer le succès d'une société sur ses bénéfices cumulées n'a pas toujours de sens dans le milieu de l'innovation. Ce qui va intéresser un investisseur en capital-risque, c'est la différence entre la valorisation d'entrée et celle de la vente, c'est tout. Que celle-ci ait augmentée parceque la start-up bénéficie d'un buzz médiatique monstrueux ou d'une techno formidable, alors qu'elle ne fait pas 1€ de bénéfice voir pas de chiffre d'affaires, peu importe dans l'absolu. On peut trouver ça déplorable ou moins méritoire qu'un business classique, mais c'est juste un autre modèle de création de valeur.

Maintenant, il y a du vrai dans cet article, mais je nuancerai :
1/ des boites qui se revendent sans rentabilité existante ou à court-terme, et a fortiori sans chiffre d'affaires, tout en générant un multiple de valorisation important pour les investisseurs, ça court pas les rue je pense

2/ des boites qui font du chiffre et des bénéfices, et dont on entend jamais parler dans les médias, il y en a beaucoup plus qu'on ne le pense :)

Et là où par contre je ne suis pas d'accord, c'est l'idée que les entrepreneurs créé juste pour revendre plus tard... Je doute fortement que ceux dont la motivation est uniquement l'argent réussissent. Ceux qui réussissent ont rarement créé pour l'argent au départ. Et les emmerdes de clients, TVA, URSSAF et serveurs, ils les ont eu vous inquiétez pas...

Olivier

Rédigé par : Olivier | 6 oct 2010 21:35:43

C'est vrai que ça doit leur faire drôle d'être critiqués pour une fois alors que d'habitude ils sont présentés comme des magiciens et des exemples..
Si cet article de capital ne les gênait pas ils n'en parleraient pas. Rien que pour ça, c'est un bon article.

Rédigé par : Remi | 6 oct 2010 18:47:34

Excellent : je te recommande le com de soutien à Pierre Chappaz sur son blog. Ca vaut son pesant de cacahuètes :
"Je te soutiens Pierre. C'est honteux ce genre de presse. Comment ce journaliste a-t-il osé se mêler de tes affaires ? En quoi ça les regarde ces journalistes ? Dans le web, on sait tous que Netvibes et Fon faisaient rêver tout le monde il y a 4 ans et qu'aujourd'hui le marché est beaucoup plus difficile à cause des géants comme Google. Mais ce n'est pas de ta faute!! Pareil pour Hellotipi et Appsfire. Le secteur est hyper concurrentiel et on rêve tous de revendre un jour notre boîte sur les mêmes valo que Kelkoo;-) Mais si en plus un journaliste qui n'est pas de notre milieu commence à raconter avec son ton amusé que le business est difficile, ça peut tout nous casser!! Regarde le tableau sur capital.fr: ça a dû leur prendre des jours entiers alors que nous on l'aurait fait en 5 minutes et on ne l'aurait jamais publié! Tu défends nos intérêts à tous: MERCI.
PS: Eric Mettout, j'ai vu que tu travailles pour lexpress.fr, on compte sur toi pour nous faires des papiers sympas sur nos boîtes, histoire de ne pas laisser cette mauvaise image."

Rédigé par : Enrico | 6 oct 2010 17:55:46

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